Dans le dernier billet, j’attribuai la responsabilité du blocage du putsch à la junte de Niamey, mais il est apparent cette fois (après une fausse bonne nouvelle d’une proposition de négociation de sortie de crise sur la base d’une transition de neuf mois) que la faute revient à la Cédéao, qui campe sur des positions “maximalistes”, au lieu d’organiser un terrain d’entente entre Bazoum et les militaires comme on a le droit de s’y attendre à ce stade.
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Appendice au coup d'État bloqué: Hama Plus
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Dans le dernier billet, j’attribuai la responsabilité du blocage du putsch à la junte de Niamey, mais il est apparent cette fois (après une fausse bonne nouvelle d’une proposition de négociation de sortie de crise sur la base d’une transition de neuf mois) que la faute revient à la Cédéao, qui campe sur des positions “maximalistes”, au lieu d’organiser un terrain d’entente entre Bazoum et les militaires comme on a le droit de s’y attendre à ce stade.