Comme tous ce qu’on a pu lire de Rahmane Idrissa, un texte très pertinent qui part de la façon dont le bien pensant anti-colonial empêche de prendre la mesure des réalités de la vie sous les régimes putchistes. Je vis cette situation dans mes cours de politique africaine avec une grande partie de mes étudiants d’origine ouest-africaine, où il faut sans cesse insister sur les contradictions internes aux États en question contre l’hypothèse que tout cela serait le fruit de l’ingérence occidentale et de l’extraversion et qu’enfin il y aurait un moment de libération.
Comme tous ce qu’on a pu lire de Rahmane Idrissa, un texte très pertinent qui part de la façon dont le bien pensant anti-colonial empêche de prendre la mesure des réalités de la vie sous les régimes putchistes. Je vis cette situation dans mes cours de politique africaine avec une grande partie de mes étudiants d’origine ouest-africaine, où il faut sans cesse insister sur les contradictions internes aux États en question contre l’hypothèse que tout cela serait le fruit de l’ingérence occidentale et de l’extraversion et qu’enfin il y aurait un moment de libération.