Erratum
Contrairement à ce que j’ai écrit dans le billet précédent, le président bissau-guinéen ne brigue pas un troisième mandat inconstitutionnel, mais un second qui est tout à fait constitutionnel — bien qu’il ait lui-même annoncé, comme jadis Patrice Talon du Bénin, qu’il n’en remplirait qu’un. Cependant, il est bien en froid (glacial) avec la Cédéao (il a menacé d’expulser sa délégation venue essayer de résoudre plusieurs contentieux électoraux, et ladite délégation a préféré quitter la scène). Plus de détails ici.